SaintThomas est un merveilleux compagnon du Christ, et il peut nous aider Ă  vivre notre vocation de disciples. Le rĂ©cit le plus connu Ă  propos de cet ApĂŽtre est celui de sa rencontre avec le Christ, Ă  la fin du chapitre 20 de l’Evangile selon saint Jean, lorsque JĂ©sus lui dit : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans Celuiqui aime a dĂ©jĂ  franchi la mort S 89 Akepsimas C'est ça l'important MEJ Jeunes C'est dans une grotte R 9 C'est JĂ©sus qui nous rassemble A 22-99 C'est NoĂ«l tous les jours SM 4 C'est Toi ma lampe, Seigneur TaizĂ© TaizĂ© C'est Toi, Seigneur, le pain rompu D 293 Communion C'est Toi, Seigneur, qui nous a choisis A 128 Tassin C'est Toi, Seigneur, qui Celuiqui aime a dĂ©jĂ  franchi la mort S 89 (aucun de nos gestes, mĂȘme parmi les plus humbles et les plus effacĂ©s, n’est vain aux yeux du Seigneur) Heureux les hommes au coeur de chair W 100 (ces hommes au coeur de chair, ce sont les saints ce sont nos dĂ©funts, c’est nous-mĂȘmes qui, chaque jour, essayons de rĂ©pondre Ă  l’appel des Celuiqui aime a dĂ©jĂ  franchi la mort. Rien ne pourra le sĂ©parer de lÂŽamour du Dieu vivant. 1 Si notre faim de ta Parole A nourri nos corps brisĂ©s, Devant toi, Seigneur, nous aurons le cialisgenerika deutschland AprĂšs avoir interviewĂ© Christian Rodriguez (DGGN), Miss Konfidentielle a l’honneur de mettre en lumiĂšre Maddy Scheurer, porte-parole de la Gendarmerie nationale. Maddy Scheurer telle que vous la connaissez en suivant les informations est une chose. Maddy au sein de cette interview en est une autre ! Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. Ignorez-vous que nous tous qui avons Ă©tĂ© baptisĂ©s en JĂ©sus-Christ, c’est en sa mort que nous avons Ă©tĂ© baptisĂ©s? Nous avons donc Ă©tĂ© ensevelis avec lui par le baptĂȘme en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscitĂ© des morts par la gloire du PĂšre, de mĂȘme nous aussi nous marchions en nouveautĂ© de vie. En effet, si nous sommes devenus une mĂȘme plante avec lui par la conformitĂ© Ă  sa mort, nous le serons aussi par la conformitĂ© Ă  sa rĂ©surrection, sachant que notre vieil homme a Ă©tĂ© crucifiĂ© avec lui, afin que le corps du pĂ©chĂ© fĂ»t dĂ©truit, pour que nous ne soyons plus esclaves du pĂ©chĂ©; car celui qui est mort est libre du pĂ©chĂ©. Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ ressuscitĂ© des morts ne meurt plus; la mort n’a plus de pouvoir sur lui. Car il est mort, et c’est pour le pĂ©chĂ© qu’il est mort une fois pour toutes; il est revenu Ă  la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit. Ainsi vous-mĂȘmes, regardez-vous comme morts au pĂ©chĂ©, et comme vivants pour Dieu en JĂ©sus-Christ" Romains 6 1-11. La conversion Ă  JĂ©sus-Christ ne consiste pas Ă  croire en une doctrine chrĂ©tienne, ni Ă  s’engager dans une religion chrĂ©tienne. Mais c’est avant tout une mort et une rĂ©surrection, en Christ et avec Christ. Sans cette mort et cette nouvelle naissance, il n’y a aucune vie chrĂ©tienne authentique possible! En Christ, nous mourons Ă  toute notre vie passĂ©e de pĂ©chĂ©, et nous ressuscitons Ă  une vie entiĂšrement nouvelle, la vie Ă©ternelle. Tous les fondements de notre vie chrĂ©tienne et de notre unitĂ© chrĂ©tienne doivent s’appuyer sur cette seule rĂ©alitĂ© incontournable celle de notre mort et de notre rĂ©surrection en Christ. C’est ce baptĂȘme ou "plongeon" dans la mort et la rĂ©surrection de JĂ©sus-Christ qui est le seul vĂ©ritable baptĂȘme chrĂ©tien, dont les baptĂȘmes ultĂ©rieurs d’eau et d’Esprit ne sont que la reprĂ©sentation et la confirmation. Sans ce baptĂȘme dans la mort et la rĂ©surrection de JĂ©sus, le baptĂȘme d’eau n’aurait aucune valeur ni aucune signification. Et il ne serait pas possible non plus d’ĂȘtre baptisĂ© dans le Saint-Esprit. La Bible mentionne donc trois baptĂȘmes chrĂ©tiens, et ces trois-lĂ  sont un le baptĂȘme dans la mort et la rĂ©surrection de JĂ©sus, le baptĂȘme d’eau, et le baptĂȘme dans le Saint-Esprit. Le baptĂȘme d’eau reprĂ©sente notre mort et notre rĂ©surrection en JĂ©sus-Christ. Ce baptĂȘme est Ă  la fois un ensevelissement en Christ, l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu, et un acte d’obĂ©issance Ă  l’ordre formel du Seigneur JĂ©sus. Le baptĂȘme dans le Saint-Esprit est donnĂ© Ă  tous ceux qui le demandent, et qui veulent obĂ©ir au Seigneur. C’est le Saint-Esprit, lorsqu’Il nous remplit, qui seul peut nous conduire, d’une maniĂšre pratique, dans la mort effective de tout notre passĂ© de pĂ©chĂ©, et dans la vie concrĂšte de rĂ©surrection en Christ. En effet, si nous sommes morts et ressuscitĂ©s en Christ, si nous sommes bien baptisĂ©s dans la mort et la rĂ©surrection de Christ, c’est en esprit que nous le sommes, dĂšs le moment de notre conversion Ă  Christ et de notre nouvelle naissance en Christ. Toutefois, cette rĂ©alitĂ© spirituelle, qui est dĂ©jĂ  la nĂŽtre en Christ, doit ensuite passer dans tous les aspects de notre vie pratique. Et ce sont les baptĂȘmes d’eau et d’Esprit qui nous garantissent un bon dĂ©part dans notre vie chrĂ©tienne. Si nous voulons bien arriver, il nous faut commencer par bien partir! C’est la raison pour laquelle le Seigneur JĂ©sus Lui-mĂȘme a ordonnĂ© Ă  Son Eglise d’ĂȘtre baptisĂ©e d’eau et d’Esprit, et c’est aussi pour cela que l’Eglise primitive accordait une importance capitale Ă  ces baptĂȘmes. Etre baptisĂ© d’eau et d’Esprit sont en effet les deux premiers commandements que le Seigneur adresse Ă  Ses disciples, une fois qu’ils sont passĂ©s par la nouvelle naissance. "JĂ©sus, s’étant approchĂ©, leur parla ainsi Tout pouvoir m’a Ă©tĂ© donnĂ© dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du PĂšre, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur Ă  observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde" Matthieu 28 18-20. "Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de JĂ©rusalem, mais d’attendre ce que le PĂšre avait promis, ce que je vous ai annoncĂ©, leur dit-il; car Jean a baptisĂ© d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisĂ©s du Saint-Esprit. Alors les apĂŽtres rĂ©unis lui demandĂšrent Seigneur, est-ce en ce temps que tu rĂ©tabliras le royaume d’IsraĂ«l? Il leur rĂ©pondit Ce n’est pas Ă  vous de connaĂźtre les temps ou les moments que le PĂšre a fixĂ©s de sa propre autoritĂ©. Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes tĂ©moins Ă  JĂ©rusalem, dans toute la JudĂ©e, dans la Samarie, et jusqu’aux extrĂ©mitĂ©s de la terre. AprĂšs avoir dit cela, il fut Ă©levĂ© pendant qu’ils le regardaient, et une nuĂ©e le dĂ©roba Ă  leurs yeux" Actes 1 4-9. L’Eglise primitive attachait une extrĂȘme importance au fait d’obĂ©ir Ă  ces ordres du Seigneur JĂ©sus. Tout nouveau converti Ă©tait baptisĂ© d’eau immĂ©diatement aprĂšs sa conversion. On n’attendait mĂȘme pas le lendemain! Aujourd’hui, on peut faire attendre un nouveau converti pendant des mois avant de le baptiser, pour toutes sortes de raisons humaines, dont aucune n’est spirituelle! Il est temps, bien-aimĂ©s, que nous rĂ©apprenions Ă  obĂ©ir au Seigneur! N’oublions pas que nous comparaĂźtrons tous devant le tribunal de Christ, et que nous devrons tous Lui rendre des comptes! Quand nous voyons aujourd’hui le peu d’importance, ou mĂȘme le mĂ©pris, accordĂ© au baptĂȘme d’eau, dans certains milieux chrĂ©tiens, on ne peut que constater le niveau d’apostasie atteint dans l’Eglise visible. Pour toutes sortes de raisons, on en vient mĂȘme Ă  considĂ©rer le baptĂȘme d’eau comme une simple formalitĂ© optionnelle. On en a fait aussi un "sacrement salvateur" administrĂ© Ă  des bĂ©bĂ©s ou Ă  des petits enfants, alors qu’il est l’engagement volontaire et conscient de ceux qui sont d’abord passĂ©s par la repentance, et qui ont dĂ©jĂ  reçu le Seigneur JĂ©sus comme leur Sauveur et MaĂźtre. Devant toutes ces dĂ©rives, nous affirmons, Bible Ă  l’appui, que tous ceux qui nĂ©gligent, ou mĂȘme qui refusent, en toute connaissance de cause, de se soumettre Ă  l’ordre formel de leur Seigneur de passer par le baptĂȘme d’eau, tous ceux-lĂ  rejettent les conditions qu’Il a imposĂ©es Ă  Ses disciples pour faire partie de Son Corps et de Son Epouse sainte. Peuvent-ils encore espĂ©rer que le Seigneur, lorsqu’Il reviendra prendre Son Epouse, considĂšrera qu’ils en font partie? Ils feraient mieux de ne pas se bercer de cette illusion! Ils feraient mieux d’obĂ©ir au plus vite Ă  Celui qu’ils considĂšrent comme leur Seigneur, tant qu’il est encore temps! Soyons clairs il n’est nullement nĂ©cessaire d’ĂȘtre baptisĂ© d’eau et d’Esprit pour recevoir le salut de Dieu en JĂ©sus-Christ. Pour ĂȘtre sauvĂ©, il suffit de se repentir de ses pĂ©chĂ©s, et de croire en JĂ©sus. Le brigand sur la croix a Ă©tĂ© sauvĂ©, mais il n’était baptisĂ© ni d’eau ni d’Esprit. Son entrĂ©e dans le Paradis de Dieu lui a Ă©tĂ© assurĂ©. Mais s’il avait survĂ©cu, il n’aurait pas manquĂ© de passer par ces baptĂȘmes, pour faire partie de l’Eglise de JĂ©sus-Christ. En quel nom faut-il baptiser d’eau les nouveaux convertis? Dans certains milieux chrĂ©tiens, on insiste sur la nĂ©cessitĂ© de baptiser d’eau uniquement "au nom de JĂ©sus". On fait mĂȘme "refaire" les baptĂȘmes qui ont Ă©tĂ© accomplis "au nom du PĂšre, et du Fils, et du Saint-Esprit". Qu’en est-il exactement dans la Bible? Dans les Actes des ApĂŽtres, il est Ă©crit qu’ils baptisaient "au nom de JĂ©sus-Christ" Actes 2 38, ou "au nom du Seigneur JĂ©sus" Actes 8 16 et 19 5, ou encore "au nom du Seigneur" Actes 10 48. DĂ©jĂ , nous pouvons remarquer qu’ils n’utilisaient pas une "formule unique" pour baptiser. Les partisans du baptĂȘme "au nom de JĂ©sus" affirment que les apĂŽtres et les disciples ont interprĂ©tĂ© de cette maniĂšre l’ordre du Seigneur JĂ©sus, donnĂ© dans Matthieu 28 19. Ils disent que, lorsque JĂ©sus a demandĂ© de baptiser "au nom du PĂšre, et du Fils, et du Saint-Esprit", cela devait ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme un baptĂȘme "au nom de JĂ©sus", comme les Actes semblent l’indiquer. Nous devons nous Ă©lever Ă©nergiquement contre une telle interprĂ©tation erronĂ©e. En effet, il aurait Ă©tĂ© trĂšs facile, pour le Seigneur JĂ©sus, de dire Ă  Ses disciples "Vous devrez baptiser Mes disciples en Mon nom". Dans plusieurs passages, le Seigneur JĂ©sus, dans les Evangiles, a demandĂ© Ă  Ses disciples de faire certaines choses "en Son nom". Il nous a demandĂ© par exemple de "prier le PĂšre en Son nom", de "chasser les dĂ©mons en Son nom", "d’imposer les mains aux malades en Son nom"
 Mais nulle part Il n’a demandĂ© de "baptiser en Son nom". Au contraire, Il a clairement demandĂ© de baptiser "au nom du PĂšre, et du Fils, et du Saint-Esprit". Jean 1410 Ne crois-tu pas que je suis dans le PĂšre, et que le PĂšre est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-mĂȘme; et le PĂšre qui demeure en moi, c'est lui qui fait les oeuvres. 1411 Croyez-moi, je suis dans le PĂšre, et le PĂšre est en moi; croyez du moins Ă  cause de ces oeuvres. 1412 En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au PĂšre; 1413 et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le PĂšre soit glorifiĂ© dans le Fils. 1414 Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. 1415 Si vous m'aimez, gardez mes commandements. 1416 Et moi, je prierai le PĂšre, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure Ă©ternellement avec vous, 1417 l'Esprit de vĂ©ritĂ©, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaĂźt point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. 1418 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai Ă  vous. 1420 En ce jour-lĂ , vous connaĂźtrez que je suis en mon PĂšre, que vous ĂȘtes en moi, et que je suis en vous. 1421 Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime; et celui qui m'aime sera aimĂ© de mon PĂšre, je l'aimerai, et je me ferai connaĂźtre Ă  lui. 1423 JĂ©sus lui rĂ©pondit Si quelqu'un m'aime, il gardera ma parole, et mon PĂšre l'aimera; nous viendrons Ă  lui, et nous ferons notre demeure chez lui. 1424 Celui qui ne m'aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n'est pas de moi, mais du PĂšre qui m'a envoyĂ©. 1425 Je vous ai dit ces choses pendant que je demeure avec vous. 1426 Mais le consolateur, l'Esprit Saint, que le PĂšre enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. 1427 Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s'alarme point. 1429 Et maintenant je vous ai dit ces choses avant qu'elles arrivent, afin que, lorsqu'elles arriveront, vous croyiez. 168 Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le pĂ©chĂ©, la justice, et le jugement 169 en ce qui concerne le pĂ©chĂ©, parce qu'ils ne croient pas en moi; 1613 Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vĂ©ritĂ©, il vous conduira dans toute la vĂ©ritĂ©; car il ne parlera pas de lui-mĂȘme, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses Ă  venir. 1614 Il me glorifiera, parce qu'il prendra de ce qui est Ă  moi, et vous l'annoncera. 1615 Tout ce que le PĂšre a est Ă  moi; c'est pourquoi j'ai dit qu'il prend de ce qui est Ă  moi, et qu'il vous l'annoncera. 1620 En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, vous pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se rĂ©jouira vous serez dans la tristesse, mais votre tristesse se changera en joie. 1621 La femme, lorsqu'elle enfante, Ă©prouve de la tristesse, parce que son heure est venue; mais, lorsqu'elle a donnĂ© le jour Ă  l'enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance, Ă  cause de la joie qu'elle a de ce qu'un homme est nĂ© dans le monde. 1622 Vous donc aussi, vous ĂȘtes maintenant dans la tristesse; mais je vous reverrai, et votre coeur se rĂ©jouira, et nul ne vous ravira votre joie. 1623 En ce jour-lĂ , vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, ce que vous demanderez au PĂšre, il vous le donnera en mon nom. 1624 Jusqu'Ă  prĂ©sent vous n'avez rien demandĂ© en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite. 1625 Je vous ai dit ces choses en paraboles. L'heure vient oĂč je ne vous parlerai plus en paraboles, mais oĂč je vous parlerai ouvertement du PĂšre. 1626 En ce jour, vous demanderez en mon nom, et je ne vous dis pas que je prierai le PĂšre pour vous; 1627 car le PĂšre lui-mĂȘme vous aime, parce que vous m'avez aimĂ©, et que vous avez cru que je suis sorti de Dieu. 1633 Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j'ai vaincu le monde. Matthieu Venez Ă  moi, vous tous qui ĂȘtes fatiguĂ©s et chargĂ©s, et je vous donnerai du repos. HĂ©breux 4 Craignons donc, tandis que la promesse d'entrer dans son repos subsiste encore, qu'aucun de vous ne paraisse ĂȘtre venu trop tard. Car cette bonne nouvelle nous a Ă©tĂ© annoncĂ©e aussi bien qu'Ă  eux; mais la parole qui leur fut annoncĂ©e ne leur servit de rien, parce qu'elle ne trouva pas de la foi chez ceux qui l'entendirent. Pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos, selon qu'il dit Je jurai dans ma colĂšre Ils n'entreront pas dans mon repos! Il dit cela, quoique ses oeuvres eussent Ă©tĂ© achevĂ©es depuis la crĂ©ation du monde. Car il a parlĂ© quelque part ainsi du septiĂšme jour Et Dieu se reposa de toutes ses oeuvres le septiĂšme jour. Et ici encore Ils n'entreront pas dans mon repos! Or, puisqu'il est encore rĂ©servĂ© Ă  quelques-uns d'y entrer, et que ceux Ă  qui d'abord la promesse a Ă©tĂ© faite n'y sont pas entrĂ©s Ă  cause de leur dĂ©sobĂ©issance, Dieu fixe de nouveau un jour-aujourd'hui-en disant dans David si longtemps aprĂšs, comme il est dit plus haut Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, N'endurcissez pas vos coeurs. Car, si JosuĂ© leur eĂ»t donnĂ© le repos, il ne parlerait pas aprĂšs cela d'un autre jour. Il y a donc un repos de sabbat rĂ©servĂ© au peuple de Dieu. Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses oeuvres, comme Dieu s'est reposĂ© des siennes. Efforçons-nous donc d'entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le mĂȘme exemple de dĂ©sobĂ©issance. Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une Ă©pĂ©e quelconque Ă  deux tranchants, pĂ©nĂ©trante jusqu'Ă  partager Ăąme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensĂ©es du coeur. Nulle crĂ©ature n'est cachĂ©e devant lui, mais tout est Ă  nu et Ă  dĂ©couvert aux yeux de celui Ă  qui nous devons rendre compte. Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversĂ© les cieux, JĂ©sus, le Fils de Dieu, demeurons fermes dans la foi que nous professons. Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir Ă  nos faiblesses; au contraire, il a Ă©tĂ© tentĂ© comme nous en toutes choses, sans commettre de pĂ©chĂ©. Approchons-nous donc avec assurance du trĂŽne de la grĂące afin d'obtenir misĂ©ricorde et de trouver grĂące, pour ĂȘtre secourus dans nos besoins. Colossiens 115 Il est l'image du Dieu invisible, le premier-nĂ© de toute la crĂ©ation. 116 Car en lui ont Ă©tĂ© créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trĂŽnes, dignitĂ©s, dominations, autoritĂ©s. Tout a Ă©tĂ© créé par lui et pour lui. 117 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. 118 Il est la tĂȘte du corps de l'Église; il est le commencement, le premier-nĂ© d'entre les morts, afin d'ĂȘtre en tout le premier. 119 Car Dieu a voulu que toute plĂ©nitude habitĂąt en lui; 120 il a voulu par lui rĂ©concilier tout avec lui-mĂȘme, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. 121 Et vous, qui Ă©tiez autrefois Ă©trangers et ennemis par vos pensĂ©es et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant rĂ©conciliĂ©s par sa mort dans le corps de sa chair, 122 pour vous faire paraĂźtre devant lui saints, irrĂ©prĂ©hensibles et sans reproche, 123 si du moins vous demeurez fondĂ©s et inĂ©branlables dans la foi, sans vous dĂ©tourner de l'espĂ©rance de l'Évangile que vous avez entendu, qui a Ă©tĂ© prĂȘchĂ© Ă  toute crĂ©ature sous le ciel, et dont moi Paul, j'ai Ă©tĂ© fait ministre. 124 Je me rĂ©jouis maintenant dans mes souffrances pour vous; et ce qui manque aux souffrances de Christ, je l'achĂšve en ma chair, pour son corps, qui est l'Église. 125 C'est d'elle que j'ai Ă©tĂ© fait ministre, selon la charge que Dieu m'a donnĂ©e auprĂšs de vous, afin que j'annonçasse pleinement la parole de Dieu, 126 le mystĂšre cachĂ© de tout temps et dans tous les Ăąges, mais rĂ©vĂ©lĂ© maintenant Ă  ses saints, 127 Ă  qui Dieu a voulu faire connaĂźtre quelle est la glorieuse richesse de ce mystĂšre parmi les paĂŻens, savoir Christ en vous, l'espĂ©rance de la gloire. 128 C'est lui que nous annonçons, exhortant tout homme, et instruisant tout homme en toute sagesse, afin de prĂ©senter Ă  Dieu tout homme, devenu parfait en Christ. Proverbes 81 La sagesse ne crie-t-elle pas? L'intelligence n'Ă©lĂšve-t-elle pas sa voix? 82 C'est au sommet des hauteurs prĂšs de la route, C'est Ă  la croisĂ©e des chemins qu'elle se place; 83 A cĂŽtĂ© des portes, Ă  l'entrĂ©e de la ville, A l'intĂ©rieur des portes, elle fait entendre ses cris 84 Hommes, c'est Ă  vous que je crie, Et ma voix s'adresse aux fils de l'homme. 85 Stupides, apprenez le discernement; InsensĂ©s, apprenez l'intelligence. 86 Écoutez, car j'ai de grandes choses Ă  dire, Et mes lĂšvres s'ouvrent pour enseigner ce qui est droit. 87 Car ma bouche proclame la vĂ©ritĂ©, Et mes lĂšvres ont en horreur le mensonge; 88 Toutes les paroles de ma bouche sont justes, Elles n'ont rien de faux ni de dĂ©tournĂ©; 89 Toutes sont claires pour celui qui est intelligent, Et droites pour ceux qui ont trouvĂ© la science. 810 PrĂ©fĂ©rez mes instructions Ă  l'argent, Et la science Ă  l'or le plus prĂ©cieux; 811 Car la sagesse vaut mieux que les perles, Elle a plus de valeur que tous les objets de prix. 812 Moi, la sagesse, j'ai pour demeure le discernement, Et je possĂšde la science de la rĂ©flexion. 813 La crainte de l'Éternel, c'est la haine du mal; L'arrogance et l'orgueil, la voie du mal, Et la bouche perverse, voilĂ  ce que je hais. 814 Le conseil et le succĂšs m'appartiennent; Je suis l'intelligence, la force est Ă  moi. 815 Par moi les rois rĂšgnent, Et les princes ordonnent ce qui est juste; 816 Par moi gouvernent les chefs, Les grands, tous les juges de la terre. 817 J'aime ceux qui m'aiment, Et ceux qui me cherchent me trouvent. 818 Avec moi sont la richesse et la gloire, Les biens durables et la justice. 819 Mon fruit est meilleur que l'or, que l'or pur, Et mon produit est prĂ©fĂ©rable Ă  l'argent. 820 Je marche dans le chemin de la justice, Au milieu des sentiers de la droiture, 821 Pour donner des biens Ă  ceux qui m'aiment, Et pour remplir leurs trĂ©sors. 822 L'Éternel m'a créée la premiĂšre de ses oeuvres, Avant ses oeuvres les plus anciennes. 823 J'ai Ă©tĂ© Ă©tablie depuis l'Ă©ternitĂ©, DĂšs le commencement, avant l'origine de la terre. 824 Je fus enfantĂ©e quand il n'y avait point d'abĂźmes, Point de sources chargĂ©es d'eaux; 825 Avant que les montagnes soient affermies, Avant que les collines existent, je fus enfantĂ©e; 826 Il n'avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussiĂšre du monde. 827 Lorsqu'il disposa les cieux, j'Ă©tais lĂ ; Lorsqu'il traça un cercle Ă  la surface de l'abĂźme, 828 Lorsqu'il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l'abĂźme jaillirent avec force, 829 Lorsqu'il donna une limite Ă  la mer, Pour que les eaux n'en franchissent pas les bords, Lorsqu'il posa les fondements de la terre, 830 J'Ă©tais Ă  l'oeuvre auprĂšs de lui, Et je faisais tous les jours ses dĂ©lices, Jouant sans cesse en sa prĂ©sence, 831 Jouant sur le globe de sa terre, Et trouvant mon bonheur parmi les fils de l'homme. 832 Et maintenant, mes fils, Ă©coutez-moi, Et heureux ceux qui observent mes voies! 833 Écoutez l'instruction, pour devenir sages, Ne la rejetez pas. 834 Heureux l'homme qui m'Ă©coute, Qui veille chaque jour Ă  mes portes, Et qui en garde les poteaux! 835 Car celui qui me trouve a trouvĂ© la vie, Et il obtient la faveur de l'Éternel. 836 Mais celui qui pĂšche contre moi nuit Ă  son Ăąme; Tous ceux qui me haĂŻssent aiment la mort. Jean 1523 Celui qui me hait, hait aussi mon PĂšre. Luc 1123 Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. 926 Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles, le Fils de l'homme aura honte de lui, quand il viendra dans sa gloire, et dans celle du PĂšre et des saints anges. 723 Heureux celui pour qui je ne serai pas une occasion de chute! 646 Pourquoi m'appelez-vous Seigneur, Seigneur! et ne faites-vous pas ce que je dis? Matthieu 721 Ceux qui me disent Seigneur, Seigneur! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-lĂ  seul qui fait la volontĂ© de mon PĂšre qui est dans les cieux. Luc 1257 Et pourquoi ne discernez-vous pas de vous-mĂȘmes ce qui est juste? Jean 101 En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand. 102 Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. 103 Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors. 104 Lorsqu'il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. 105 Elles ne suivront point un Ă©tranger; mais elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des Ă©trangers. 109 Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvĂ©; il entrera et il sortira, et il trouvera des pĂąturages. Matthieu 713 Entrez par la porte Ă©troite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mĂšnent Ă  la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par lĂ . 714 Mais Ă©troite est la porte, resserrĂ© le chemin qui mĂšnent Ă  la vie, et il y en a peu qui les trouvent. Jean 146 JĂ©sus lui dit Je suis le chemin, la vĂ©ritĂ©, et la vie. Nul ne vient au PĂšre que par moi. Luc 1324 Efforcez-vous d'entrer par la porte Ă©troite. Car, je vous le dis, beaucoup chercheront Ă  entrer, et ne le pourront pas. 1325 Quand le maĂźtre de la maison se sera levĂ© et aura fermĂ© la porte, et que vous, Ă©tant dehors, vous commencerez Ă  frapper Ă  la porte, en disant Seigneur, Seigneur, ouvre-nous! il vous rĂ©pondra Je ne sais d'oĂč vous ĂȘtes. 1326 Alors vous vous mettrez Ă  dire Nous avons mangĂ© et bu devant toi, et tu as enseignĂ© dans nos rues. 1327 Et il rĂ©pondra Je vous le dis, je ne sais d'oĂč vous ĂȘtes; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquitĂ©. 1328 C'est lĂ  qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophĂštes, dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetĂ©s dehors. 1329 Il en viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi; et ils se mettront Ă  table dans le royaume de Dieu. 1330 Et voici, il y en a des derniers qui seront les premiers, et des premiers qui seront les derniers. Jean 1248 Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge; la parole que j'ai annoncĂ©e, c'est elle qui le jugera au dernier jour. 1249 Car je n'ai point parlĂ© de moi-mĂȘme; mais le PĂšre, qui m'a envoyĂ©, m'a prescrit lui-mĂȘme ce que je dois dire et annoncer. 1250 Et je sais que son commandement est la vie Ă©ternelle. C'est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le PĂšre me les a dites. Luc 1726 Ce qui arriva du temps de NoĂ© arrivera de mĂȘme aux jours du Fils de l'homme. 1727 Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu'au jour oĂč NoĂ© entra dans l'arche; le dĂ©luge vint, et les fit tous pĂ©rir. 1728 Ce qui arriva du temps de Lot arrivera pareillement. Les hommes mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, bĂątissaient; 1729 mais le jour oĂč Lot sortit de Sodome, une pluie de feu et de souffre tomba du ciel, et les fit tous pĂ©rir. 1730 Il en sera de mĂȘme le jour oĂč le Fils de l'homme paraĂźtra. 962 JĂ©sus lui rĂ©pondit Quiconque met la main Ă  la charrue, et regarde en arriĂšre, n'est pas propre au royaume de Dieu. 524 Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les pĂ©chĂ©s Je te l'ordonne, dit-il au paralytique, lĂšve-toi, prends ton lit, et va dans ta maison. Marc 1331 Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. Matthieu 1811 Car le Fils de l'homme est venu sauver ce qui Ă©tait perdu. 1230 Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. 1929 Et quiconque aura quittĂ©, Ă  cause de mon nom, ses frĂšres, ou ses soeurs, ou son pĂšre, ou sa mĂšre, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et hĂ©ritera la vie Ă©ternelle. 1930 Plusieurs des premiers seront les derniers, et plusieurs des derniers seront les premiers. Pour le dernier adieu Accueille en ta tendresse Pierre Gauffriau Adieu l’ami, adieu mon frĂšre Jean-Claude Gianadda BaptisĂ© dans la lumiĂšre de JĂ©sus Michel Scouarnec Celui qui aime a dĂ©jĂ  franchi la mort Michel Scouarnec Chercher avec toi Marie Jean-Claude Gianadda Dans la ville oĂč tu t’en vas Didier Rimaud Depuis l’aube oĂč sur la terre Claude Bernard Dieu vivant, rappelle-toi Didier Rimaud En toi j’ai mis ma confiance Charles-Eric Hauguel Entre les mains de notre PĂšre Philippe Robert Garde moi mon Seigneur CommunautĂ© de l’Emmanuel Grain de blĂ© Chemin Neuf Il restera de toi Michel Scouarnec Je veux te glorifier CommunautĂ© de l’Emmanuel Je viens vers toi les mains ouvertes Je vous ai choisis CommunautĂ© de l’Emmanuel Je vous salue Marie Les saints et les saintes de Dieu CommunautĂ© de l’Emmanuel L’hiver ne chasse pas le printemps Marie-Pierre Faure Mon Ăąme se repose en paix TaizĂ© N’aie pas peur Georges Lefebvre Ni la mort, ni la vie Gilles du Boullay Oui je me lĂšverai Lucien Deiss Plus prĂšs de toi mon Dieu CommunautĂ© de l’Emmanuel Quand s’éveilleront nos cƓurs Michel Scouarnec Que le Seigneur te reçoive prĂšs de lui Claude Bernard Sur le seuil de sa maison Tiens ma lampe allumĂ©e Jean-Claude Gianadda Toi notre ami oĂč donc vas-tu Jean Servel Trouver dans ma vie ta prĂ©sence Jean-Claude Gianadda Tu as Ă©tĂ© plongĂ© dans la mort de JĂ©sus Didier Rimaud Vers toi, j’élĂšve mon Ăąme CommunautĂ© de l’Emmanuel Vienne le jour des retrouvailles Michel Scouarnec D’autres chansons Adieu l’ami Patrick Richard Amazing grace Angels Robbie Williams Chercher avec toi Marie Jean-Claude Gianadda Deep River Gospel Evidemment France Gall I’ll walk with God Gospel Ils sont nombreux les bienheureux Robert Lebel Je m’envolerais Daniel Lavoie Juste un au revoir CĂ©liane Kumbaya my Lord Gospel La chanson de l’adieu Nana Mouskouri La fin du chemin Michel Delpech Marie, tendresse des pauvres Jean-NoĂ«l Klinguer May it be Enya My heart will go on CĂ©line Dion Oraison Hubert Bourel Over the rainbow Eva Cassidy Puisque tu pars Jean-Jacques Goldman Savoir Aimer Florent Pagny Sois dans la paix SolidĂ©o Sois tranquille Emmanuel Moire Tant de belles choses Françoise Hardy Time to say goodbye Andrea Bocelli Trouver dans ma vie ta prĂ©sence Jean-Claude Gianadda Va en paix CĂ©liane Vole CĂ©line Dion More from CĂ©lĂšbres chants d'Ă©glise pour les funĂ©railles LoadingYou Might Like LoadingCurrently Trending Songs LoadingTop Songs By Same Artists LoadingTop Songs By Same Actors LoadingArtistsAbout Celui qui aime Ă  dĂ©jĂ  franchi la mortListen to Celui qui aime Ă  dĂ©jĂ  franchi la mort online. Celui qui aime Ă  dĂ©jĂ  franchi la mort is a French language song and is sung by StĂ©phane Audoin, Ensemble Vocal l'Alliance, and BĂ©atrice Gobin. Celui qui aime Ă  dĂ©jĂ  franchi la mort, from the album CĂ©lĂšbres chants d'Ă©glise pour les funĂ©railles, was released in the year 1999. The duration of the song is 416. Download French songs online from for Celui qui aime Ă  dĂ©jĂ  franchi la mort Ounas fut, je le rappelle incidemment, le premier des souverains de l'Égypte antique Ă  souhaiter "tapisser" de textes les parois de la chambre sĂ©pulcrale de son imposante "demeure d'Ă©ternitĂ©" composĂ©s de formules et d'incantations destinĂ©es Ă  favoriser l'accession et la renaissance du roi dans l'Au-delĂ , ils constituent les plus anciens Ă©crits funĂ©raires de l'HumanitĂ© actuellement mis au jour. Lisez en filigrane que, dans leur plus grande majoritĂ©, les pyramides furent totalement anĂ©pigraphes et que seules celles des derniers dynastes de l’Ancien Empire, - six en tout -, et de certaines de leurs Ă©pouses, - six Ă©galement -, prĂ©sentĂšrent cet important corpus religieux qui, plus tard, au Moyen Empire, se perpĂ©tuera avec les Textes des Sarcophages puis, au Nouvel Empire, avec le Livre pour sortir au jour, - que certains Ă©gyptologues nomment encore erronĂ©ment Livre des Morts. L'incipit que je viens de vous donner Ă  lire, - §134 a, dans les relevĂ©s qu'ont effectuĂ©s et rĂ©pertoriĂ©s les Ă©gyptologues - fut, chez Ounas et les souverains qui suivirent, gravĂ© sur la paroi sud de la chambre funĂ©raire il entamait toujours les textes tournĂ©s vers le roi dĂ©funt qui, d'ouest en est, Ă©tait censĂ© les lire en quittant son sarcophage pour se diriger vers la sortie. Cette formule que feu l'Ă©gyptologue français Jean Leclant estimait dĂ©cisive et qu'il proposait d'ailleurs de nommer "le Grand DĂ©part" ; cette assertion qui pourrait, Ă  nos esprits cartĂ©siens, sembler Ă©minemment paradoxale, je voudrais aujourd'hui la commenter, la dĂ©velopper de maniĂšre Ă  tordre le cou Ă  certaines idĂ©es prĂ©conçues ressassĂ©es ad nauseam et, Ă  cette fin, vous affirmer haut et fort NON !, les Égyptiens n'Ă©taient pas morbides ! Ni macabres ! Ni par la mort obnubilĂ©s leur vie entiĂšre ; ni par elle tourmentĂ©s, hantĂ©s, obsĂ©dĂ©s ! Mais Ă  la diffĂ©rence de la majoritĂ© d'entre nous qui, la plupart du temps, nions mĂȘme jusqu'Ă  sa prĂ©sence, nous ingĂ©niant Ă  l'ignorer, - alors que sur un plan purement philosophique notre finitude constitue sur cette terre la seule certitude dont nous puissions vĂ©ritablement ĂȘtre assurĂ©s -, les habitants des rives du Nil antique ne s'en souciaient que pour mieux l'apprivoiser, pour mieux se prĂ©parer Ă  cette seconde vie Ă  laquelle ils croyaient, arguant du fait que leur prĂ©sence ici-bas n'Ă©tait que provisoire alors que lĂ -bas, dans ces champs d'Ialou tellement prometteurs, elle serait Ă©ternelle. Certes, un peu comme nous qui, de litotes en circonlocutions, nous forçons Ă  Ă©viter une terminologie trop lourde de sens, les Égyptiens, plutĂŽt que "mourir", prĂ©fĂ©rĂšrent utiliser des verbes comme "s'Ă©loigner", "quitter", "s'en aller" ou, plus frĂ©quemment, "aborder", qu'il nous faut Ă  la fois comprendre au sens littĂ©ral d'accĂ©der, aprĂšs avoir franchi le Nil, au bord opposĂ©, sur la rive ouest oĂč Ă©taient le plus souvent amĂ©nagĂ©es les nĂ©cropoles ; et au sens figurĂ©, voire populaire, de passer de l'autre cĂŽtĂ© ... En outre, usant d'une mĂ©talepse, ils appelaient les dĂ©funts les "vivants", considĂ©rant ainsi la mort comme une non-existence et distinguant ceux qui vivaient sur terre de ceux qui Ă©voluaient lĂ -bas, dans l'Au-delĂ , dans le Bel Occident, ainsi que plus poĂ©tiquement ils prĂ©fĂ©raient le nommer. Pratiquement, dans l'Ă©criture hiĂ©roglyphique, c'est par l'adjonction d'un "classificateur sĂ©mantique", vocable choisi par l'Ă©gyptologue belge, Professeur Ă  l'UniversitĂ© de LiĂšge, Jean Winand, pour dĂ©signer le dĂ©terminatif qui ne se prononce pas mais qui permet de comprendre de quelle catĂ©gorie lexicologique le terme fait partie, que s'indiqua la distinction ainsi, le "vivant" qui est sur terre Ă©tait identifiĂ© grĂące au signe de l'homme accroupi = A 3 dans la liste de Gardiner, tandis que le "vivant" qui Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ© se distinguait soit par le signe d'une momie couchĂ©e = A 54 de la mĂȘme liste, soit par celui de l'homme assis sur un siĂšge = A 50, tenant Ă©ventuellement le flagellum = A 51, ces deux derniers personnages Ă©tant bien sĂ»r momiformes. Les diffĂ©rentes esquives lexicographiques que nous pourrions d'ailleurs considĂ©rer comme une volontĂ© d'occulter une rĂ©alitĂ© plus que dĂ©sagrĂ©able, traduisaient en fait un concept ontologique essentiel aux yeux des Égyptiens, l'ĂȘtre Ă©tait fonciĂšrement vivant mais Ă©voluait dans deux espaces diffĂ©rents, l'ici-bas et l' entre les deux, la mort, qu'il faut comprendre comme une sorte de moment de transition. L'on rencontre, quand on feuillette le Livre pour sortir au jour des titres de chapitres tels que Formule pour ne pas mourir une seconde fois dans le domaine des morts ou Formule pour ne pas pĂ©rir, pour demeurer vivant dans le domaine des morts. Mourir deux fois ? Vivre parmi les morts ? Comment devons-nous apprĂ©hender semblables formulations pour le moins sibyllines ? C'est, de maniĂšre Ă  clore notre discussion sur le sujet, ce que j'envisage de vous expliquer, amis visiteurs, lors de notre dernier rendez-vous de 2016, le mardi 20 dĂ©cembre prochain. PĂšre Kolawole Chabi/DR HomĂ©lie HomĂ©lie du dimanche du BaptĂȘme du Seigneur par le PĂšre Kolawole Chabi, religieux de l’Ordre de Saint Augustin Docteur en ThĂ©ologie et Sciences Patristiques, Professeur Assistant de Patrologie et BibliothĂ©caire Ă  l’Institut Patristique Augustinianum» de Rome. Avec la fĂȘte d’aujourd’hui, le BaptĂȘme de JĂ©sus, se termine la sĂ©rie de manifestations du Seigneur de ce temps. Le 25 dĂ©cembre, JĂ©sus s’est manifestĂ© aux pauvres Marie, Joseph, les Pasteurs. Le 6 janvier Ă  l’Épiphanie, il s’est manifestĂ© aux nations. Aujourd’hui, il se manifeste au peuple d’IsraĂ«l sur les rives du Jourdain. Celui qui se prĂ©sente au Jourdain pour ĂȘtre baptisĂ© par Jean-Baptiste reçoit la consĂ©cration solennelle du PĂšre, dont la voix dĂ©chire les cieux Celui-ci est mon Fils bien-aimĂ© en qui je trouve ma joie. » Au milieu du peuple que Jean appelle Ă  la pĂ©nitence, JĂ©sus vit une expĂ©rience ineffable lui, qui est sans pĂ©chĂ©, demande le baptĂȘme du prĂ©curseur pour pouvoir venir au secours des pĂ©cheurs et partager leur sort. Le Ciel lui-mĂȘme a rĂ©pondu Ă  cette humble impulsion, ouvrant un passage par lequel l’Esprit descend sur lui et la voix du PĂšre est entendue une manifestation tangible de la TrinitĂ©. JĂ©sus a toujours Ă©tĂ© le Fils bien-aimĂ© du PĂšre, mais, en ce moment, il se trouve dans la condition de serviteur obĂ©issant pour rĂ©aliser, sous l’impulsion de l’Esprit, la construction d’une humanitĂ© totalement rĂ©conciliĂ©e avec Dieu parce que libre de tout pĂ©chĂ©. Le baptĂȘme, quel que soit l’ñge auquel nous le recevons, est un don de la grĂące du Seigneur qui nous a choisis afin que nous soyons siens pour toujours en Christ. C’est pourquoi le baptĂȘme nous libĂšre de l’esclavage du monde et nous donne la libertĂ© des fils et filles de Dieu. Dieu n’oublie pas que nous sommes ses enfants. Il est Ă©crit Une femme peut-elle oublier son nourrisson, ne plus avoir de tendresse pour le fils de ses entrailles? MĂȘme si elle l’oubliait, moi, je ne t’oublierai pas. » IsaĂŻe 49,15. Cette dĂ©claration est une vĂ©ritĂ© fondamentale de la vie chrĂ©tienne. La liturgie de la parole d’aujourd’hui commence par le premier des Cantiques de YahvĂ© tirĂ© du livre du prophĂšte IsaĂŻe, qui nous prĂ©sente l’élu, en qui Dieu a mis toute sa joie. L’élu ne hausse pas le ton, il ne fait pas entendre sa voix au-dehors, il ne brise pas le roseau qui flĂ©chit, il n’éteint pas la mĂšche qui faiblit, mais il proclame le droit avec fermetĂ©. Cela devrait ĂȘtre le caractĂšre de toute personne qui croit et sert Dieu et ses frĂšres et sƓurs. Probablement, le DeutĂ©ro-IsaĂŻe, exerçant son ministĂšre durant le temps de l’exil, voyait le peuple d’IsraĂ«l dispersĂ© parmi les nations hostiles comme un serviteur souffrant». Il interprĂšte donc la dispersion comme une occasion offerte au peuple de servir Dieu en se faisant son messager non seulement en paroles mais surtout par l’exercice de la justice. L’Église propose IsaĂŻe 42,1-7 comme premiĂšre lecture le lundi de la Semaine Sainte. Ce choix suggĂšre une considĂ©ration l’Église nous invite Ă  nous plonger dans le Jourdain pour mourir au pĂ©chĂ© et ressusciter, Ă©merger Ă  la vie nouvelle, Ă  avancer avec le Christ le Vendredi Saint et Ă  ressusciter avec Lui, Ă  la vie nouvelle Ă©ternellement. Dans la maison de Corneille, un centurion romain converti Ă  la foi, Pierre, poussĂ© par l’Esprit Saint, malgrĂ© lui il pensait que JĂ©sus de Nazareth n’était venu dans le monde que pour le peuple de l’alliance, a franchi le mur de sĂ©paration entre les juifs et les paĂŻens. Le Christ n’est plus seulement le Roi-Messie d’un petit peuple mais de toute l’humanitĂ©; une humanitĂ© Ă  aimer parce que dĂ©jĂ  aimĂ©e par Dieu. Dieu est impartial », nous enseigne Pierre dans la deuxiĂšme Lecture de ce dimanche. Aujourd’hui encore, l’Esprit agit dans les Églises oĂč l’on est totalement convaincu de la portĂ©e universelle de la mort et rĂ©surrection du Christ, c’est-Ă -dire partout oĂč il y a un dialogue respectueux avec les autres peuples et avec les autres civilisations. A lire HomĂ©lie du dimanche Laissons-nous entrainer par l’étoile vers ce roi d’humilitĂ©, sans palais, sans armĂ©e » JĂ©sus, de la GalilĂ©e, est entrĂ© dans le Jourdain, montrant ainsi au monde ce qui, pendant trente ans, est restĂ© un mystĂšre enveloppĂ© de silence. Étant vrai homme, il a vĂ©cu un temps de maturation, de silence absolu bien qu’il soit la Parole mĂȘme de Dieu. La deuxiĂšme Personne de la Sainte TrinitĂ© permet ainsi Ă  Dieu de se rendre accessible Ă  nous en tant que Verbe fait chair. Son BaptĂȘme Ă  travers lequel la Sainte TrinitĂ© s’est visiblement manifestĂ©e et que nous cĂ©lĂ©brons aujourd’hui, consacre notre BaptĂȘme comme dit Saint Augustin. Nous avons Ă©tĂ© baptisĂ©s au nom du PĂšre et du Fils et du Saint-Esprit » Mt 28, 19. Et, selon la promesse du Christ, la Sainte et Divine TrinitĂ© fait sa demeure en nous Jn 14, 23. Elle transforme notre vie, nous attirant Ă  lui avec la force d’attraction de la RĂ©surrection. Tout ceci se rĂ©alise quand nous vivons en vrais baptisĂ©s!

celui qui aime a déjà franchi la mort paroles